Des Bobo, Bwaba, Peulh, Dogon, Bamana… ont quitté le Mali, selon l’histoire, il y a plusieurs années aux côtés de Naba Kango, de retour d’exil. Depuis, ils se sont installés à Ouahigouya, où ils cohabitent en paix avec La communauté locale, Yadga. Cette cohabitation prolongée a favorisé une intégration progressive : aujourd’hui, il n’est pas rare qu’on les prenne pour des Mossis. Ce brassage culturel témoigne d’une bonne cohésion sociale, construite au fil du temps et des générations.
