En intégrant le projet de Haute intensité de mains d’œuvre (HIMO), de jeunes burkinabè espéraient échapper au chômage. Certains sont passés de l’espoir au découragement : ce projet n’a pas changé leur vie. D’autres, par contre, ont réussi à s’insérer dans le monde professionnel.
![« Himo, ce n’était pas ce à quoi on s’attendait »](https://www.studioyafa.org/wp-content/uploads/from-joomla/92c3523de61d06eebdc515f2babb64b9.jpg)