‘’Même si les autorités décident de nous aider pour ces fêtes, cela ne changera pas grand-chose. Nous pensons plutôt à nos proches tués par les terroristes », affirme Karim Sawadogo, déplacé accueillie sur un site à Kaya. Comme lui, près 17 000 autres déplacés n’ont pas la tête aux fêtes de fin d’année.
![Kaya : Les déplacés internes n’ont pas la tête aux fêtes](https://www.studioyafa.org/wp-content/uploads/from-joomla/57df6a0f34180006582f429068c6ac21.jpg)