ยซ๐๐จ๐ญ๐ซ๐ž ๐๐ž๐ซ๐ง๐ขรจ๐ซ๐ž ๐ก๐ž๐ฎ๐ซ๐ž ๐งโ€™๐š ๐ฉ๐š๐ฌ ๐ฌ๐จ๐ง๐งรฉยป, ๐˜๐š๐œ๐จ๐ฎ๐›๐š, ๐ก๐จ๐ซ๐ฅ๐จ๐ ๐ž๐ซ

La tête baissée, un œil fermé, muni d’une pince, Yacouba Soré est visiblement bien concentré. Il se saisit d’une pièce et avec beaucoup de minutie, la pose sur partie de la montre qu’il répare. Ce geste là, l’homme le répète depuis 1987. C’est qui métier qui a toujours passionne le quinquagénaire. Réparateur ambulant à ses débuts, il a depuis son propre atelier au marché « 15 yaar » Patte d’oie (Ouagadougou) depuis 1995. Pour lui, l’aiguille de la montre ne s’arrêtera jamais de tourner malgré la multiplication des supports sur lesquels on peut lire l’heure. Donc, le métier d’horloger ne disparaîtra pas.