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Dans les années 80-90, le cinéma burkinabè a illuminé les écrans d’Afrique et d’ailleurs avec des films de belles factures comme 𝘉𝘶𝘶𝘥 𝘺𝘢𝘮, 𝘛𝘪𝘭𝘢ï, 𝘞𝘦𝘯𝘥 𝘬𝘶𝘯𝘪. Des productions qui ont eu le soutien de grands mécènes, des coopérations et fonds burkinabè.

Aujourd’hui, le monde du cinéma burkinabè déplore la disparition de ces soutiens au secteur. Des jeunes cinéastes ont du mal à trouver des financements pour mieux rendre leurs idées et produire compétitives. La question du financement des films au Burkina, une problématique actuelle.