๐‹๐ž ๐Ÿ๐ข๐ง๐š๐ง๐œ๐ž๐ฆ๐ž๐ง๐ญ, ๐ฅโ€™๐š๐ฎ๐ญ๐ซ๐ž ๐›๐จ๐ฎ๐ฅ๐ž๐ญ ๐š๐ฎ ๐ฉ๐ข๐ž๐ ๐๐ฎ ๐œ๐ข๐งeฬ๐ฆ๐š ๐๐ฎ๐ซ๐ค๐ข๐ง๐š๐›eฬ€

Dans les annรฉes 80-90, le cinรฉma burkinabรจ a illuminรฉ les รฉcrans dโ€™Afrique et dโ€™ailleurs avec des films de belles factures comme ๐˜‰๐˜ถ๐˜ถ๐˜ฅ ๐˜บ๐˜ข๐˜ฎ, ๐˜›๐˜ช๐˜ญ๐˜ขรฏ, ๐˜ž๐˜ฆ๐˜ฏ๐˜ฅ ๐˜ฌ๐˜ถ๐˜ฏ๐˜ช. Des productions qui ont eu le soutien de grands mรฉcรจnes, des coopรฉrations et fonds burkinabรจ.

Aujourdโ€™hui, le monde du cinรฉma burkinabรจ dรฉplore la disparition de ces soutiens au secteur. Des jeunes cinรฉastes ont du mal ร  trouver des financements pour mieux rendre leurs idรฉes et produire compรฉtitives. La question du financement des films au Burkina, une problรฉmatique actuelle.