"Adjoua" regrette la baisse de la clientèle depuis la rafle de la gendarmerie à Allah ti Kouma
« Allah ti kouma », là où Dieu lui-même ne parle plus (1/3). Depuis la descente de la gendarmerie dans la nuit du 12 au 13 avril, les lupanars, même s'ils ne sont pas vides, ne grouillent plus de monde comme avant. « A l’heure-là, il n’y a pas travail, client a peur de venir », nous confie Adjoua. Récit d'une soirée chaude à Allah ti kouman, en compagnie de Princess et de Adjoua. En bifurquant à gauche à partir de la gare routière, [...]